TÉMOIGNAGE : COMMENT J'AI REÇU LE SEIGNEUR JÉSUS CHRIST

 

Ce témoigne est d'une utilité fondamentale pour ceux qui sont encore dans le péché (péché au singulier).

Oui, car nous sommes sauvés une seule fois, comme nous avons été fait pécheurs par un seul geste, celui de notre père, c'est-à-dire Adam. Nous vivons en un seul aussi : Jésus Christ.

Comme tous meurent en Adam, de même par un seul homme tous revivrons en lui.

Eh bien, il faut juste le croire. J'étais jadis pécheur. Éloigné du cité de Dieu, et de son amour.

Et un jour j'étais assis à la maison, lisant et écrivant de la poésie, ou lisant de sciences physiques et mathématiques entre les deux, un jour des vacances de juillet 2014.

Je connaissais exactement ce que la Bible enseignait.

J'ai participé durant toute mon enfance à deux cultes majeurs : l'école de dimanche et puis directement la grande messe.

Je passais donc suffisamment de temps le dimanche à l'église.

Je lisais des livres de la bibliothèque de mon père, celle-là comprenait des Bibles, de nouveaux testament de toute sorte, des livres divers, des encyclopédies culturelles et bien plus.

Je savais les enseignements de la Bible donc.

Par exemple je savais que Jésus Christ est fils de Dieu, qu'il est Dieu, qui s'est fait homme, est venu au monde, pour mourir pour les pécheurs.

Je savais que l'homme né pécheur, qu'il est héritier du péché d'Adam.

Et je savais également beaucoup de versets bibliques.

J'étais donc quelq'un qui se considérait comme sauvé.

Et où est le piège alors ?

J'étais un pécheur ! Loin de la face de Dieu. Et directement sur le chemin de la perdition. J'étais seulement cultivé.

Mais je connaissais les écritures, je connaissais des chants religieux, je priais très souvent. Et je croyais tout ce qui est écrit.

Mais j'étais un pécheur.

Alors, tout d'un coup, je vis un de nos pasteurs, en pleine journée, il toqua sur la porte du salon.

Alors, tout d'un coup, je vis un de nos pasteurs, en pleine journée, il toqua sur la porte du salon.

Je courais pour ouvrir, je me sentais déjà nerveux. Parce que je n'aimais pas vraiment l'idée d'être perturbé par quelqu'un quand j'étudiais. Ou faisais mes trucs (Plusieurs personnes n'étaient pas d'accord avec ma fascination à la poésie c'est sûr). Mais j'étais obsédé et je n'écrivais pas de la poésie païenne. Je dénonçais juste certains aspects de la vie.

Je rappelle également que je ne fume pas et je ne fumais pas, ne prenait pas d'alcool et personne ne m'a demandé à propos de ces histoires (Ils n'ont en effet, rien a voir avec le salut : mais quelque chose à voir avec la vie chrétienne).

Ouvrant la porte, moi qui croyais que le bon pasteur venait cherchait mon père, mais en pleine journée ? Ne savait t'il pas qu'il ne sera pas là ?

Si, il savait tout cela.

Mais ce jour là, l'Éternel l'a conduit chez moi juste pour moi. Exactement pour moi. Plus personne d'autre.!

Quelle grâce ! Jésus Christ lui-même toque à ta porte. 

(Comme il est écrit dans apocalypse, voici je me tient à la porte et je frappe si quelqu'un attend ma voix et ouvre la porte j'entrerai chez lui et je souperai avec lui et lui avec moi. )

Ce jour là, le pardon de Dieu m'a visité.

Le pasteur m'a posé quelques questions sur ce que je pensais du salut.

J'ai absolument tout bien répondu qu'un non évangéliste dirait, tu en sais tout déjà. Et il continue son chemin.

Mais lui, il savait, au fait, Dieu l'a fait connaître, le pasteur, que ce n'était qu'une connaissance générale et ça ne vaut pas le salut. 

Il m'a alors dit : ça c'est ce que tu sais, mais il te faut le croire.

Dans un instant j'ai changé directement d'aspect, passant de normal à nerveux, et de nerveux à curieux.

Ah bon ! C'est donc ça 

Exactement.

Tu vas devoir le croire.

J'ai aussitôt confessé le seigneur Jésus en des termes à peu près égaux à ceux ci :

Je reconnais devant Dieu que je suis pécheur. Je crois que Jésus Christ est mort pour moi. Je crois qu'il est ressuscité pour ma justification.

Et je crois qu'en dehors de lui je ne peux être sauvé.

J'accepte de le recevoir comme mon Sauveur personnel

Après avoir confessé de ma propre bouche, devant l'homme de Dieu, il a aussitôt remercié Dieu de m'avoir accueilli comme son enfant.

Il a prié pour le remerciement, pour l'âme qui vient d'être sauvé. Et il est parti heureux et moi je suis resté heureux.

Mais j'ai eu une question qui m'a bousculé tout d'un coup. Une petite question mais qui m'est semblé jusqu'à présent nécessaire.

J'aimais et j'aime beaucoup écrire. Et il m'a même rencontré en train de le faire. Mais pour la première fois j'ai fait un débat intérieur contre moi-même.

Dois-je écrire ce jour 

C'était en juillet 2014. Août si je me trompe. Mais c'était au début des vacances donc probablement juillet. Mais quel jour ?

Quel est donc ce jour que j'ai reçu le Seigneur ?

Le Diable a vraiment joué au Malin, comme il est toujours.

Et j'ai fini par ne pas l'écrire.

Maintenant je sais qu'à partir de ce jour là, le diable s'est senti retiré un de ses compagnons en enfer.

J'ai reçu mon Seigneur et Sauveur personnel 

Que le nom de l'Éternel soit béni.

C'est ainsi que j'ai reçu le Seigneur comme mon sauveur.

Ça n'a rien à voir avec le baptême d'eau, rien avec l'alcool ou la drogue. Rien avec mon effort personnel. C'était un miracle.

Ce sera pour moi le plus grand miracle 

Et vous, comment avez vous reçu le Seigneur Jésus Christ comme votre sauveur personnel ? Écrivez-nous et nous publierons votre témoignage pour aider d'autres personnes.